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Et si les acteurs les plus influents de la diplomatie environnementale n'étaient pas des pays à l'agenda dominant, mais plutôt des petites puissances visionnaires ? Cet ouvrage explore leur rôle sur la scène internationale à travers une analyse comparative inédite du Costa Rica, de Monaco et du Bhoutan. En s'appuyant sur une étude précise des structures étatiques et des cadres juridiques, l'auteur démontre comment ces trois États, malgré leurs ressources limitées, ont su s'imposer comme des modèles internationaux en matière de protection environnementale. Mais au-delà de ces cas emblématiques, l'analyse s'élargit à trois autres petites puissances, le Qatar, les Maldives et le Tadjikistan, révélant que la seule existence d'une constitution verte ou d'un pouvoir centralisé ne suffit pas. Ces recherches nous amènent à conclure que l'engagement environnemental ne dépend pas que de structures étatiques et de cadres juridiques centralisés, mais repose en réalité sur la synergie de cinq piliers indissociables.

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