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« Je me sens mal. » Dans une société saturée d'absurdités, de bruit et de contradictions, ce cri revient comme un mantra. Pascal Riou signe un texte à vif, sans fard, où l'écoeurement devient acte de lucidité. À travers des fragments drolatiques ou glaçants, il ausculte le quotidien et ses dérives : métro, écrans, politique, indifférence... Rien n'est épargné, surtout pas notre confort silencieux. Premier volet d'une trilogie, Éloge de l'écoeurement dit tout haut ce que beaucoup ressentent tout bas.

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