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Représenter le pouvoir, interroger les modèles et les formes des palais républicains : Gauthier BOLLE Représenter le pouvoir national sur le territoire : une transformation tardive des modèles. Le prestige des grands palais nationaux et des salles d'assemblée. Diplomatie et expression du pouvoir colonial. Réalités et utopies internationalistes. Les édifices cultuels, entre continuités et renouveaux : Cécile Rivière. Plans traditionnels et éclectisme stylistique (1906-1938). Diversité confessionnelle et inspirations néo-romano-byzantines (1913-1935). Églises votives et de pèlerinage, du néo-roman à l'expressionnisme (1918-1935). L'église dans un projet d'ensemble (1949-1958). Nouvelles conceptions constructives et spatiales (1955-1965). L'architecture scolaire : des projets éloquents, entre réalisme et vraisemblance : Anne-Marie Châtelet. Victor Blavette, un professionnel réaliste (1908-1928). Louis Madeline, un regard distancié (1928-1949). André Gutton et la « nouvelle école » (1949-1957). De Louis Aublet à Jean Fayeton, la fin des Beaux-Arts (1957-1967). Le cinéma : nouveau type d'édifice et programmes inédits : Shahram Abadie. Naissance d'un édifice, apparition d'un programme. L'âge d'or du cinéma, anticipation de besoins variés. Normalisation d'un type et réalisme pédagogique. Une Culture impérissable ? Richard Klein. Les programmes culturels dans les concours. Quels programmes culturels ? Réalité et fiction des programmes culturels. Récurrences et contemporanéité des programmes culturels. Le professeur et l'esthétique du moment. Dessiner la ville, enseigner l'urbanisme : Amandine DIENER. Art urbain et grande composition, deux conceptions de la ville (1906-1917). De la cité-jardin à la cité idéale : la ville entre réalité et utopie (entre-deux-guerres). Réforme de l'enseignement et contexte de la Reconstruction : l'urbanisme, un « art de haute composition » (1939-1949). Grands ensembles et villes nouvelles, l'accomplissement d'un urbanisme opérationnel (1949- 1968) ? Conclusion : l'urbanisme aux Beaux-Arts, des rendez-vous manqués. Le Prix du meilleur diplôme de la SADG, 1950-1967 : Marie-Jeanne Dumont et Louis Chaffron. Le diplôme, pierre de touche de la professionnalisation. Le prix du meilleur diplôme, un enjeu pour la SADG. Fonctionnement du jury dans les années d'après-guerre. Les élèves primés, nationalités, ateliers. Les programmes et leur localisation. Les projets, architecture, références. Partis de composition et de construction. Rendus. La fin du meilleur diplôme.

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