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Guerre, enfermement, résistance attisent leur feu dans l'oeuvre de Nicolas Daubanes. Un feu sans cendre. Aux Invalides, le musée de l'Armée présente une trentaine de ses travaux, d'une matérialité monumentale, qui questionnent notre rapport à la transmission. Et portent aussi un regard orienté sur des pièces d'histoire qui hantent la mémoire collective, de la Commune de Paris aux heures sombres de l'Occupation. Nicolas Daubanes expose au musée de l'Armée (nov 2025-mai 2026) en mêlant art contemporain et mémoire des guerres (1870-1945). L'exposition « Nicolas Daubanes, dessiner la guerre (1870-1945) », présentée au musée de l'Armée (nov. 2025 à mai 2026), explore des questions fondamentales comme la vie, la mort et la condition humaine à travers l'art contemporain. Nicolas Daubanes, artiste reconnu, utilise divers matériaux et techniques pour interroger la mémoire collective et les limites de l'existence. Le musée de l'Armée, engagé dans un dialogue entre art contemporain et patrimoine, accueille cette exposition dans la continuité de sa politique artistique, renforcée par des résidences photographiques. Le livre présente une trentaine d'oeuvres, dont dix dessins monumentaux et une création inédite. Ces oeuvres dialoguent avec les collections historiques, invitant à une nouvelle appréhension de l'histoire et de la mémoire. L'ouvrage met en lumière la confrontation entre art et objets patrimoniaux, questionnant notre rapport à l'histoire, à la transmission et au souvenir collectif. Le projet s'inscrit également dans le cadre plus large des lieux de mémoire nationaux et de la réflexion sur la guerre et ses héritages.

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